Symphonie primordiale
Symphonie primordiale
Sentiment de chaleur, présence dans l’instant
Profite du bonheur qui coule dans le vent
Par le choix de mes mains j’ai ouvert ma porte
Pour le coeur de demain que les regrets sortent
Sensation de plaisir antichambre béni
Regarde les désirs dans ce lit accomplis
Par notre conscience qui joue la volonté
D’être de l’omniscience à jamais redouté
Les questions sont parties dans le temps de la nuit
Perdues, inutiles lorsque l’harmonie jouit
Matin qui jubile dans la grâce du don
Existence utile, accepte ce qui luit
Dans le creux de ma vie un joyau de pardon
Reforme le vernis qui conserve mon nom
Talengar, poète à ses heures perdues