( 14 mars, 2010 )

Idéal poète

Idéal poète


Je cherche poète, à donner tout mon temps

Ouvrir la fenêtre sur un jour de printemps

 

Je cherche poète, à devenir meilleur

Rechercher la fête, et combler tous les cœurs

 

Je cherche poète toutes les vérités

Même ma vie est prête à être sacrifiée

 

Je cherche poète, à toucher toutes les cœurs

Car comme prophète je prédis le malheur

 

Je cherche poète la voie de mon amour

Et avec mes lettres le toucher pour toujours

 

Je cherche poète l’illusion de la mort

Pour montrer aux êtres que je n’ai jamais tord

 

Je cherche poète la paix de mon esprit

A jamais je jette les pensées de ma vie

 

Je cherche poète, à voir dans l’au-delà

Achever ma quête et finir mon combat

 

Je cherche poète me transformer en toi

Pour payer ma dette et proclamer ma loi

 

Talengar, poète à ses heures perdues

14 Commentaires à “ Idéal poète ” »

  1. talengar dit :

    Un poème que j’ai écrit il y a plusieurs année, mais qui reste toujours dans l’actualité.

    Bonne lecture.

  2. adelaide dit :

    Mon poête, celui qui m’aide dans la nuit et qui me guide dans la vie. Merci pour ce jolie verset qui m’emmène et qui guéri mon âme en peine.
    Je te remercie d’avoir pansé ma plaie et d’avoir commenter « ou dois-je me diriger ».
    Merci d’exister poète en herbe à ses heures perdues…

  3. puissant dit :

    BOnjour,
    Je reviens lire quelques écrits.Je suis (du verbe suivre et non du verbe être !!) ta plume qui galope…hop hop hop !
    J’attends le prochain, que les idées viennent à foison, que la nuit te prodigue moultes idées…
    merci
    Cilou!

    Dernière publication sur Plius : Ma merveille

  4. qualita1 dit :

    Les heures perdues font de bien jolis poèmes !!!
    Bonne journée à vous

    Dernière publication sur PLUME FAREWELL : LE CHIFFON ROUGE

  5. talengar dit :

    Bonjour,

    Merci Adélaide de commenter mes mots et mes vers comme un acte guérisseur, c’est une face de la poésie que j’aimerai atteindre: guérir avec des mots et toucher les cœurs!

    Ma plume va au trot, voire même au galop, mais ma connexion est plus épisodique pour le moment, les prochains arrivent, certains sont même écrit… merci de me suivre sur mon bateau-ivre.

    Les heures perdues sont celle de la nuit, celle où tous dorment et où le poète veille, il guette l’inspiration, la muse de ses idées qui dans un jaillissement de pensée laisse la plume couler sur le papier.

    Amicalement,

    Tal

  6. autresrimes dit :

    coucou
    sympa ces rimes

  7. Jack Asmo dit :

    Il est vraiment bien :)

  8. talengar dit :

    Je suis toujours heureux lorsque mes vers plaisent, lorsqu’ils suscitent un écho chez le lecteur.

    Merci à vous.

    Tal

  9. koalangie dit :

    Il trouvera poète, car notre âme il sait toucher…et la sienne.

    Tu es poète, non, tu es plus que ça, tu es toi.

    Dernière publication sur Angie : Des années ont passé

  10. talengar dit :

    Un grand réconfort de savoir que je suis plus qu’une fonction, aussi belle soit-elle, car il est vrai que le plus beau des rôles est toujours le nôtre pour peut que nous acceptions de le jouer (et surtout de l’écrire)…

  11. Sharkie dit :

    Je croyais avoir du talents, mais comparé à toi je suis extrêmement nulle! (Euh c’est bien toi qui l’a écrit j’espère ou je me trompe complètement, bon pourvu que je n’ai pas l’air d’une tarte!

  12. talengar dit :

    Bonjour Sharkie,

    Merci pour ton commentaire, et oui je te rassure, chaque poème de ce blog est une création originale de ma part… je n’use que de mes mots pour crée mon espace personnel.

    Amicalement

    Tal

  13. Jo-alsace dit :

    J’aime la musique et les mots de cette poésie ! (bien que je n’ai pas compris le dernier vers…)

  14. talengar dit :

    C’est un poème avec une musique interne qui nous berce…

    Le dernier vers peut renvoyer au fait que le poète accepte son titre pour devenir un parangon de son art pour faire valoir son don et devenir créateur de monde.

    Mais encore une fois, ce n’est qu’une interprétation, je préfère lorsque c’est le lecteur qui sent en lui les échos de mes poèmes.

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